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Sans détour, sans compromis, le Sociologue Frédéric Boisrond dégaine, démantèle, démolit et annihile les arguments des leaders du Monde libre qui cautionnent à coup de banals prétextes leurs échanges commerciaux avec des tyrans et des voyous… au nom de la démocratie. Il grille ceux qui financent l’élection de marionnettes pour en faire de voraces guignols et d’insatiables pantins. Il bourrade sans ménagement ceux qui trahissent la confiance de leurs concitoyens et acceptent de bon gré leur rôle de lampistes et de sous-fifres. Dans un style lapidaire, ironique et incisif, l’auteur dénonce l’odieuse complicité, les mensonges, les magouilles et les petits arrangements orchestrés par des leaders sans scrupule pour offrir la fréquentabilité à tout dictateur assez riche pour acheter son impunité. Il déboulonne ces dirigeants qui se prosternent devant des Pétro-monarques rétrogrades, intolérants, misogynes mais combien dépensiers et généreux. L’écrivain et académicien Dany Laferrière croit que « ce qui enrage ce passionné de la chose publique c’est qu’en plus d’exploiter les gens, on ne cesse de les insulter, leur faisant croire qu’ils sont les artisans de leurs malheurs. » Pour Louise Harel, qui fut députée pendant 27 années, Ministre et chef de l’opposition au Conseil de Ville de Montréal, « ce livre nous secoue tant il décrit, de manière exhaustive, un monde sur lequel nous cherchons le plus souvent à fermer les yeux, en le prétendant lointain. » Celle qui a été la première femme à occuper le poste de Présidente de l’Assemblée nationale du Québec, ajoute que « le constat de Frédéric Boisrond est souvent sévère et sans appel mais l’honnêteté de sa démarche désarme tant son propos est juste. » Frédéric Boisrond a publié, dans La Presse et Le Devoir, plusieurs articles sur l’état de la démocratie dans le monde. Son parcours professionnel l’a amené à séjourner entre autres, en Haïti, en Chine, aux États-Unis, en Guinée, au Mexique, en Espagne, en France et au Nicaragua, ce qui lui a permis d’enrichir ses recherches. Depuis janvier 2009, il enseigne à l’Université McGill. Frédéric Boisrond a réussi son pari. Il suscite l’indignation, il décoiffe, déstabilise et dérange.
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Après le succès de Au nom du peuple et du fric et du sain d’esprit, le Sociologue Frédéric Boisrond récidive. Ferme les yeux, ouvre la bouche, avale est un véritable manifeste pour identifier les malandrins, un énoncé de principe pour résister aux vauriens. L’auteur démontre que, depuis 1927, le Parlement canadien ne respecte pas le principe élémentaire de la neutralité religieuse de l’État. Il défonce les politiciens de ce pays, ces chevaliers servants de la classe moyenne, qui n’offrent aux pauvres que l’espoir et le mépris. Vif et corrosif, Frédéric Boisrond affirme que pendant que Michel Martelly, le Président illégitime d’Haïti, gérait son pays sans règles, sans équerres et sans compas, Ban Ki-moon en a profité pour offrir des sauf-conduits à des Casques bleus qui, en 2010, ont délibérément déversé leurs matières fécales dans une rivière. Il accuse l’Ex-secrétaire général de l’ONU d’outrage à l’intelligence et questionne avec une totale hardiesse, sa responsabilité dans la meurtrière épidémie de choléra qui en a résulté. Le Sociologue dénonce le laxisme du gouvernement israélien qui, plus soucieux de préserver la réputation de l’État hébreux n’a pas fait diligence pour identifier et traduire en justice ceux qui ont monté une machination qui a réduit de moitié le taux de fécondité des Juives éthiopiennes de ce pays. Il rappelle aux autorités d’Israël qu’elles sont les mieux placés pour savoir que la réduction d’une population sur la base d’une idéologie politique, ethnique ou identitaire a un nom… un nom honteux. L’auteur rappelle que dans les camps de réfugiés, les enfants sont laissés à eux-mêmes. Ils dorment, mangent et jouent dans des conditions infrahumaines. La folie de leurs aînés les condamne à devenir fous, complètement fous. Frédéric Boisrond fustige les grand-gosiers qui pornographient l’aide internationale. Il pique la racaille et pince les canailles qui, en République centrafricaine, se sont permis d’envahir les entrailles des fillettes qu’ils avaient le devoir de secourir. Il identifie les coq-sans-becs et les mâles-finis qui, au Sierra Leone, à Val-d’Or et à Vancouver, ont troqué des biens de première nécessité et des services essentiels contre des fellations et d’autres taxes d’amusement sur les produits et services. L’auteur préfère vous avertir… Ce qu’il va vous raconter, va vous glacer le sang !
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Dans «Inconduites, tweets et autres bullshits d’une élite en faillite», son 3e livre sur l’état de la démocratie dans le monde, Frédéric Boisrond identifie clairement des voyous, des criminels et des repris de justice qui occupent des postes de pouvoir à travers le monde. Il donne le prénom et le nom de famille de ces dirigeants qui ont inventé des règles pour pouvoir s’acheter un pays à vie afin de permettre à leurs descendants de goûter à la vie des gens riches et célèbres. Frédéric Boisrond emmène son lectorat aux Îles Cook, aux Îles Palaos, au Kosovo et en Haïti pour lui faire découvrir les différentes formes que prend la mise en tutelle d’un pays. Il rappelle que cette tutelle, en tout temps et en tout lieu, est le résultat de l’incapacité de gouverner d’une élite nationale qui choisit de se faire prendre par la main comme des bambins, de se laisser mener par le bout du nez comme des hébétés. L’auteur exige que soit brisé le silence, le mutisme généralisé qui permet aux misogynes d’occuper l’espace public. Il dégaine pour empêcher le dédouanement de ceux qui véhiculent des discours de haine des femmes dans des assemblées, des parlements et à travers des chansons, des jeux vidéo et les médias sociaux. Il refuse de leur donner le micro, le clavier et la manette, ces armes puissantes avec lesquelles ils tentent d’endoctriner les prochaines générations. Il explique pourquoi il faut coller un visa de censure à ces phallocrates dès qu’ils osent transgresser les frontières du tolérable. Frédéric Boisrond rappelle qu’avant la Covid-19, il y a eu le SIDA, une pandémie qui a été alimentée entre autre, par des compagnies pharmaceutiques. Pour se débarrasser de leurs stocks d’invendus, ces entreprises ont exporté dans des pays déstructurés, des produits qu’elles savaient contaminés au HIV. Il reproche à cette confrérie qui continuent en toute impunité à fabriquer des pilules et des vaccins, d’avoir vendu la mort à forte dose et au gros prix. Après la Covid-19, la population de la Martinique et de la Guadeloupe restera avec du chlordécone dans le sang pour les 600 prochaines années. Ce pesticide a été utilisé dans les bananeraies de ces îles quand le monde entier, incluant le gouvernement français, savait qu’il aurait des impacts irréversibles sur la santé reproductive. L’auteur vous dévoile le contenu de la lettre irrévérencieuse qu’il a fait parvenir à Emmanuel Macron pour lui dire que ce crime a un nom. Il a invité le Président français à prendre ses responsabilités. Frédéric Boisrond avance que pour qu’il y ait un véritable changement, pour que la démocratie retrouve ses lettres de noblesse, toute personne qui se présente à des élections devrait s’engager à envoyer ses enfants à l’école publique, à boire l’eau du robinet, à utiliser les toilettes publiques et en cas de maladie, à se faire soigner dans le système de santé de son propre pays.